Nul ne se souvient du nom que lui donnaient les Indiens. Peut-être l'appelaient-ils simplement onon:ta' : la montagne. Dans les iora'wihstote de ce kahiatonhsera' (les «pelures», c'est-à-dire les pages, de ce livre), je propose moins une histoire qu'une géopoétique du mont Royal.
«Touchant aux larmes, et pourtant magnifique, frémissant, Dernier automne est aussi une réflexion sur la mort et sur l'humilité à laquelle elle nous contraint.